Tunisie-France : Poulina en Bleu-Blanc-Cœur
Toujours plus haut et plus loin. Ayant élevé le souci de la perfection en principe cardinal, Poulina Group Holding (PGH) le décline à tous les niveaux et dans tous ses secteurs d’activité. Notamment dans l’agroalimentaire, un des plus importants pour le groupe dirigé par M. Abdelwaheb Ben Ayed. Cette quête de l’amélioration incessante de l’organisation, des processus et, par conséquent, des services et produits s’est traduite par une adhésion précoce de PGH au mouvement pro-Oméga 3 que les dirigeants du groupe ne considèrent pas comme un phénomène de mode auquel il faut sacrifier.
Preuve de l’importance qu’il accorde à cette notion et de sa détermination à l’intégrer à sa démarche, PGH a adhéré à l’organisation qui est en passe de devenir à l’échelle internationale à la fois l’avocat et le gardien du temple de l’Oméga 3 : Bleu-Blanc-Cœur, une association française créée en 2000, et dont Société de Nutrition Animale (SNA) -la société de PGH spécialisée dans la fabrication d’aliments composés- est la seule entreprise ou organisation professionnelle arabe et africaine à faire partie. SNA est représentée au Collège Nutrition Animale, l’un des sept de Bleu-Blanc-Cœur qui compte plus de 320 membres.
Jusque-là peu médiatisée, la coopération entre les filiales agroalimentaires de PGH et Bleu-Blanc-Cœur le sera davantage lors d’une conférence presse prévue mercredi 25 août, qui verra également la présentation d’une nouvelle gamme de produits enrichis en Oméga 3, développés par le groupe.
A l’origine française et aujourd’hui de plus en plus internationale –plusieurs entreprises étrangères en font partie, comme Premium Crops et BOCM Pauls Ltd (Royaume-Uni), Agrocat, ITACA Europa SNA SA, PINALET SA, et Forbaker (Espagne), Association Tradilin Suisse, REAGRO (Portugal), TAI NGUYEN SEA FOOD (Vietnam), Tradilin Deutschland, etc.-, Bleu-Blanc-Cœur a été créée pour fédérer tous les acteurs de la chaîne alimentaire en vue «d’offrir une alimentation plus saine, plus savoureuse et plus équilibrée».
Partant d’une idée simple -«pour bien nourrir les hommes, commençons par prendre soin de nos cultures et de nos animaux»- et des conclusions d’une étude clinique menée dans les années 90 par Valorex (une entreprise bretonne de fabrication d’aliments du bétail), avec l’Institut National de Recherche en Agriculture(INRA) et le Centre d’Etude et de Recherche en Nutrition (CERN) qui a démontré que «le lin, réintroduit dans l’alimentation des animaux, améliore la santé et les performances de ces derniers et apporte aux produits de ces animaux un profil nutritionnel de meilleur qualité : moins de gras, moins de graisses saturées, plus d’Oméga 3, meilleur rapport Oméga 6/Oméga 3, etc.».
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