Geofamily localise vos proches par leurs mobiles
"Où sortent mes ados le soir ?" "Mes enfants sont-ils bien rentrés à la maison ?" Autant d'arguments que Geofamily met en avant pour vendre son service de géolocalisation. Sa cible, c'est le cercle familial quand des sites comme Google Latitude, Foursquare ou Pryce misent davantage sur le cercle amical. Mais Geofamily y viendra aussi. "Nous voulons enrichir le service en intégrant la notion de réseaux sociaux", explique Laurent Destouches, co-associé de la start-up.
Pour l'heure, Geofamily s'utilise sans être nécessairement équipé d'un smartphone. Un téléphone portable tout simple suffit. Aucun logiciel n'est à télécharger. Seuls une adresse mail et un numéro de téléphone mobile valides sont demandés au moment de l'inscription sur le site Internet. Il faut ensuite indiquer le numéro de portable de la, ou des personnes que l'on souhaite localiser. Puis, la requête de localisation s'opère depuis le site ou par SMS, en payant au coup par coup (1 euro l'unité), en achetant des packs ou des abonnements mensuels.
Cap sur l'international
Point rassurant, ce type de service "que les gens sont prêts à payer" reste très contrôlé par la Cnil (Commission nationale de l'informatiques et des libertés). Elle veille à ce qu'il ne soit pas possible de localiser les gens à leur insu. Le consentement, obligatoire, est requis à plusieurs reprises et notamment au moment où la localisation est demandée.
Techniquement, Geofamily s'appuie sur les données de géolocalisation fournies par les opérateurs ; Orange et SFR en l'occurrence mais aussi les MVNO qui louent leurs réseaux. Des pourparlers sont en cours avec Bouygues Telecoms. Plus le nombre d'antennes est dense, comme dans les grandes agglomérations, plus la localisation est précise.
Rentable depuis sa naissance il y a deux ans, Geofamily a séduit 7.500 clients mais "16 millions de familles pourraient être notre cible". L'objectif est de "retravailler le business model pour faire plus de volume et baisser les prix". La start-up envisage également de tisser sa toile à l'International et prévoit une levée de fonds à la rentrée.
Pour l'heure, Geofamily s'utilise sans être nécessairement équipé d'un smartphone. Un téléphone portable tout simple suffit. Aucun logiciel n'est à télécharger. Seuls une adresse mail et un numéro de téléphone mobile valides sont demandés au moment de l'inscription sur le site Internet. Il faut ensuite indiquer le numéro de portable de la, ou des personnes que l'on souhaite localiser. Puis, la requête de localisation s'opère depuis le site ou par SMS, en payant au coup par coup (1 euro l'unité), en achetant des packs ou des abonnements mensuels.
Cap sur l'international
Point rassurant, ce type de service "que les gens sont prêts à payer" reste très contrôlé par la Cnil (Commission nationale de l'informatiques et des libertés). Elle veille à ce qu'il ne soit pas possible de localiser les gens à leur insu. Le consentement, obligatoire, est requis à plusieurs reprises et notamment au moment où la localisation est demandée.
Techniquement, Geofamily s'appuie sur les données de géolocalisation fournies par les opérateurs ; Orange et SFR en l'occurrence mais aussi les MVNO qui louent leurs réseaux. Des pourparlers sont en cours avec Bouygues Telecoms. Plus le nombre d'antennes est dense, comme dans les grandes agglomérations, plus la localisation est précise.
Rentable depuis sa naissance il y a deux ans, Geofamily a séduit 7.500 clients mais "16 millions de familles pourraient être notre cible". L'objectif est de "retravailler le business model pour faire plus de volume et baisser les prix". La start-up envisage également de tisser sa toile à l'International et prévoit une levée de fonds à la rentrée.
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